Les Ateliers de l’Avenir à Villejuif se sont réunis le 18 septembre 2013.

Étaient présent-e-s : Hervé A, Maryse B, Farida B, Michel B, Martine B, Claire B, Catherine C, Natalie G, Isabelle H, Stéphane K, Monique L, Eric L, François L, Alain L, Rosita O, Patrick S et Philippe V. Adrien B, Marithé C, Anne D et Mina M avaient donné un pouvoir.

Concernant le projet, nous avons convenu d’approfondir la question des finances municipales, de l’école, des jeunes, de l’emploi et de la démocratie lors de débats thématiques, et de proposer des rencontres à toutes les associations, syndicats et autres collectifs engagés localement.

Nous avons fait le point sur les perspectives d’alliances et de rassemblement. Si L’Avenir à Villejuif, à l’initiative du groupe écologiste de Villejuif, se veut avant tout une liste de citoyens engagés, nous souhaitons que les forces politiques qui se reconnaissent dans nos valeurs y participent. Le PS ayant décidé - avant même la rencontre « officielle » avec le groupe EELV- de reconduire l’alliance avec le PC, il n’a pas été possible de leur suggérer de se prononcer sur une alliance avec les écologistes au sein des Ateliers.
D’autres rencontres, informelles, ont eu lieu avec des membres de diverses tendances du PS, du Modem. D’autres rencontres sont prévues (avec Villejuif Autrement), d’autres rencontres sont souhaitées (avec le Parti de Gauche). Plusieurs adhérents insistent sur le désir de changement qui anime les habitants et la nécessité de faire l’effort d’un rassemblement large. Philippe Vidal a exposé sa propre stratégie : se présenter à l’investiture du PS, la gagner et nous inviter sur sa liste.

Concernant la mobilisation et les luttes en cours : Alain Lipietz a annoncé les résultats des enquêtes publique du SDRIF et du CDT : demi-victoires, à confirmer avec les enquêtes publiques de l’automne : PLU, Ligne rouge et Zac.

Organisation de la campagne : il est temps de se lancer officiellement dans la campagne des municipales, en désignant une tête de liste pour L’Avenir à Villejuif.

Natalie Gandais, co-présidente, seule candidate, est élue avec 16 voix pour et 1 blanc (le vote a eu lieu assez tard, deux ou trois personnes étaient rentrées). Elle évoque alors le financement* de la campagne, la désignation du mandataire financier, le recours aux dons (qui bénéficient de 60 % d’exonération fiscale) et aux prêts (emprunts auprès d’une banque, du parti EELV, des personnes physiques).

Monique Lambert est nommée directrice de campagne, chargée de la recherche d’un local.

Chic, c’est parti !

* Les modalités de financement de la campagne feront l’objet d’une note un peu plus tard.