Accueil > Actualités > Pourquoi nous votons « Changeons d’air »
avec Pierre Serne pour le Val de Marne, Emmanuelle Cosse pour la région, Mostefa Sofi à Villejuif. La liste écologiste et citoyenne soutenue par EELV et Cap 21.
Ce n’est pas une rampe de lancement pour une carrière nationale
Ca ne s’occupe pas de tout et de n’importe quoi
Ca s’occupe des transports, du développement économique, de la formation
(le reste, c’est l’État, la métropole et le département)
Depuis 3 mandats, les écologistes au Conseil régional d’Ile-de-France ont entamé une révolution des transports, donnant la priorité absolue aux transports en commun, seule solution pour désengorger la banlieue, sauver le climat, faire baisser la pollution.
Et depuis des années, les Verts au Conseil régional, avec Pierre Serne, vice-président aux transports, ont réalisé un travail colossal. A Villejuif : le tramway et demain deux lignes du Grand Paris Express (M 14 et 15), les bus de nuit... et le Pass Unique pour toute l’Ile de France !
Le rattrapage du retard pris depuis les années 1960 (lancement du RER) est immense et loin d’être comblé, dans une mégapole au bord de l’asphyxie. Il faut achever les lignes 14 et 15, passer du « Pass unique des salariés » au Pass unique général, créer un ticket unique valable 1 heure et demi, étendre la tarification sociale, renforcer les bus et les doter de couloirs dégagées, en site propre, faire reculer les circulations polluantes.
3 milliards d’euros consacrés à la lutte contre la pollution, en subventionnant l’abandon du diesel et l’isolation des logements. C’est cher ? Mais n’oublions pas que la mortalité infantile est 4 fois plus élevée à proximité des axes routiers (périphérique, autoroutes), que l’asthme et les cancers montent en flèche et nous coûtent beaucoup plus cher.
Et la transition écologique créera, avec le développement des transports en commun, 200 000 emplois en Ile de France. Il faudra de la formation à ces métiers.
Pierre Serne et les écologistes ont le courage de dire comment on finance : abandon des projets de lignes sans grande utilité (ligne17 et partie de la 18), taxation de la pollution, réduction de la vitesse automobile...
Valérie Pécresse et la droite ont tout fait depuis 12 ans pour tenter de bloquer les avancées : elles ont essayé de bloquer le tramway T3 autour de Paris, se sont opposées au Pass Unique... et maintenant découvrent les transports en commun le temps d’une élection !
Déjà Valérie Pécresse promet de détourner 500 millions du budget transports pour un pont automobile (qui n’est pas du ressort de la région !), déjà la droite dans le département des Hauts de Seine remet en cause les subventions au forfait jeune (Imagine’R), déjà la droite refuse la taxe poids lourds en Ile de France...
Avec déjà plus 10 % des emplois , plus de 12% en Val de Bièvre, le secteur des associations et des coopératives, c’est ce qui se développe le plus vite, et la région est le plus puissant agent de son développement, grâce à l’implication des écologistes
Le vote régional pour « Changer d’air », c’est le complément nécessaire de notre Plan Local d’Urbanisme, de notre Plan vélo, de notre engagement pour l’Économie sociale et Solidaire et pour la géothermie.
Lisez les programmes, reçus par la poste, de Valérie Pécresse et des cinq listes de droite : du sécuritaire, des « économies » sur le dos d’une lutte contre les fraudes largement surévaluées, des promesses tous azimuts, hors de portée de la Région.
Ceux du PS et du Front de Gauche (qui gouvernent depuis trois mandats avec les écologistes) sont évidemment beaucoup plus compétents, mais n’ont pas encore pris la mesure de l’ampleur de la crise du climat, des menaces sur notre santé.
En Ile-de-France, les écologistes ont fait le choix de s’unir, depuis Mohamed Mechmache, militant associatif des quartiers difficiles, à Corinne Lepage, qui fut ministre d’Alain Juppé. Nous savons bien que la droite et la gauche ce n’est pas tout-à-fait la même chose, mais sur les thèmes essentiels, au niveau du local, de la ville à la Région, une large alliance des femmes et des hommes de bonne volonté est possible et nécessaire.
Natalie Gandais et les élues et élus "Avenir à Villejuif" de l’Union citoyenne
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