Plus tard dans la soirée j’ai retrouvé à République des amis journalistes (Cabu, Wollnski, c’est toute notre adolescence qui s’en est allée) et des collègues plus jeunes et maghrébins d’origine, qui étaient sous un double choc. Eux c’est pour Maurice et Patapon qu’ils étaient catastrophés et en plus ils venaient de se faire insulter par des militants d’extrême-droite. Les fafs défendant Charlie !! Oui décidément c’est dur d’être aimé par des cons... Ensuite on a noyé notre chagrin, c’était des fêtards à Charlie alors c’était un hommage comme un autre et tout a été dit par (...)
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